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urne.gifElections 2009: progression de SUD-Rail - le 30/03/2009 » 14:22 par sudrailnormandie
Elections professionnelles du 26 mars :
progression SUD-Rail … 

 
SUD-Rail progresse de 2,7 et obtient 17,67%
Toujours très objective, la direction en conclut auprès des journalistes que «SUD-Rail marque le pas». Et bien, nous voulons bien marquer le pas en progressant de près de 3% à chaque élection !
 
SUD-Rail progresse dans les trois collèges :
  • Exécution + 4,1%
  • Maîtrise + 3%
  • Cadres + 1%
Notre implantation demeure inégale : de 23,5% à l’exécution, à 4,4% chez les cadres.
Les équipes SUD-Rail sont majoritaires dans de très nombreux établissements. Un exemple : les
agents de conduite de Paris Saint Lazare où SUD-Rail progresse de 27% et recueille 53% des voix !
 
La CGT (39,31 %) continue de baisser : - 3,9 en 2006, - 0,8% en 2009.
 
L’UNSA (18,06%) gagne 3,58, mais absorbe les voix de la CFTC avec qui elle faisait listes
communes dans plusieurs Comités d’Etablissement.
 
La CFTC perd d’ailleurs 2,78, n’obtenant que 5,36%.
 
L’alliance CFDT FGAAC (11,59%), tant sponsorisée par la direction, perd des voix : - 3,04.
 
L’alliance FO CGC n’obtient que 8,02%.
 
Quatre organisations syndicales (FGAAC, FO, CFTC, CGC) ne sont plus représentatives
nationalement à la SNCF. C’est la conséquence de la position commune CGT/CFDT/MEDEF
d’avril 2008, reprise dans la loi d’août 2008.
SUD-Rail réaffirme que, si la recherche de l’unité syndicale est une question importante, elle ne
saurait se régler par une loi qui limite les droits de certaines organisations syndicales.
 
La fédération SUD-Rail constate que les organisations qui se revendiquent du syndicalisme de lutte
sont toujours prédominantes. Nous parlons là, des syndicats SUD-Rail bien entendu, mais aussi de
nombreuses autres équipes syndicales, qui refusent les compromissions, privilégient la démocratie, et n’ont d’autre but que de défendre les intérêts collectifs des salarié-e-s.
 
A chacun-e de renforcer le syndicalisme, pour être plus fort-e-s ensemble ! C’est indispensable, pour
l’avenir du service public, pour l’emploi, les salaires, les conditions de travail … et construire aussi le
mouvement interprofessionnel qui doit imposer une autre répartition des richesses !