SUD-Rail
DOCUMENTATION
NOTATIONS
Bonus - Détente
VIDÉOS
Chiffres
Comission juridique
Prud Hommes
Secteur ferroviaire privé
ETN
Le Président Macron multiplie les mesures contre les salariés, les retraités et la jeunesse. Ordonnances contre le code du travail, attaques contre les services publics avec de nombreuses réductions d’effectifs, suppression massive des emplois aidés… et maintenant attaques contre la formation professionnelle, l’apprentissage et l’assurance chômage, puis contre les retraites et les retraités (premières victimes de la hausse de CSG)….
Les ordonnances, qui inversent la hiérarchie des normes sont dévastatrices. Elles laissent les mains libres à l’employeur. En fusionnant les instances, en supprimant les CHSCT distincts, elles privent les salariés de moyens essentiels à leur défense. C’est la continuité de la loi Valls-El Khomri.
Nous demandons le retrait de ces ordonnances antisociales et antidémocratiques. Rappelons ce qu’en disait le candidat Macron en 2016 : « Je ne crois pas une seule seconde […] à la réforme par ordonnances. Regardez ce qui vient de se passer quand on réforme en passant par le 49.3 [allusion à la loi El Khomri…] : les gens le prennent très mal ».
Le gouvernement veut faire ratifier les ordonnances fin novembre, mais souvenons-nous que la loi instaurant le contrat de première embauche (CPE) en 2006 avait été votée, publiée… mais jamais appliquée, face à la mobilisation de rue.
Le statut de la Fonction publique est remis en cause par le Ministre Darmanin qui ne veut pas d’augmentation du point indiciaire, mais seulement des salaires « au mérite ». D’autre part la remise en cause des instances, et des CHSCT menacera également les fonctionnaires.
Et le gouvernement parle d’une « refondation de l’action publique » qui permettrait plus de privatisations.
Le gouvernement a programmé la « mise à la porte » de centaines de milliers de personnes embauchées principalement dans le secteur associatif et la fonction publique territoriale : animateurs/animatrices socioculturelle, coordinateurs/coordinatrices d’association, formateurs/formatrices, auxiliaires de vie scolaires auprès d’élèves en situation de handicap… De nombreuses associations et missions de service public reposant principalement sur cette catégorie de personnels sont en danger. Nous refusons ce plan social et demandons la transformation des contrats aidés en emplois stables.
Le Président Macron veut fusionner dans un système unique par points les différents régimes de retraite. Démarrage des hostilités prévu début 2018.
Avec cette réforme toutes les retraites par répartition seront diminuées. Tous les salariés verront baisser leur pension et les statuts nationaux (Fonction publique, Cheminots, Energie…) seront en passe d’être détruits.
La Cour des Comptes ne dit pas autre chose en évoquant le scénario de « l’assimilation opérée en matière de retraite avec les salariés du secteur privé qui conduirait, à échéance plus ou moins rapprochée, à s’interroger sur le maintien des conditions de recrutement, d’emploi et de rémunérations spécifiques aux agents publics ».
Le Canard enchaîné du 18 octobre 2017 révèle que la quasi-suppression de l’impôt sur la fortune (ISF) devrait permettre à Bernard Arnault – première fortune de France avec un patrimoine estimé à 46,9 milliards d’euros – « d’économiser environ 150 millions d’euros d’impôt sur le revenu ».
Quand le gouvernement choisi de baisser les APL de 5 euros et prend ainsi 400 millions d’euros à ses bénéficiaires en 2018, il rend aux plus fortunés 3,2 milliards d’euros. Cherchez l’erreur…
Des milliers de jeunes se sont retrouvés en cette rentrée sans inscription à l’Université, sans place de cours dans les amphis, sans professeurs pour leur dispenser les cours.
Et le gouvernement travaille actuellement sur une sélection et sur de nouveaux obstacles concernant l’entrée à l’Université.
Les Unions départementales CGT, FO, Solidaires, avec l’UNEF, appellent au rassemblement le plus massif devant ces attaques :
Le Président Macron multiplie les mesures contre les salariés, les retraités et la jeunesse. Ordonnances contre le code du travail, attaques contre les services publics avec de nombreuses réductions d’effectifs, suppression massive des emplois aidés… et maintenant attaques contre la formation professionnelle, l’apprentissage et l’assurance chômage, puis contre les retraites et les retraités (premières victimes de la hausse de CSG)….
Les ordonnances, qui inversent la hiérarchie des normes sont dévastatrices. Elles laissent les mains libres à l’employeur. En fusionnant les instances, en supprimant les CHSCT distincts, elles privent les salariés de moyens essentiels à leur défense. C’est la continuité de la loi Valls-El Khomri.
Nous demandons le retrait de ces ordonnances antisociales et antidémocratiques. Rappelons ce qu’en disait le candidat Macron en 2016 : « Je ne crois pas une seule seconde […] à la réforme par ordonnances. Regardez ce qui vient de se passer quand on réforme en passant par le 49.3 [allusion à la loi El Khomri…] : les gens le prennent très mal ».
Le gouvernement veut faire ratifier les ordonnances fin novembre, mais souvenons-nous que la loi instaurant le contrat de première embauche (CPE) en 2006 avait été votée, publiée… mais jamais appliquée, face à la mobilisation de rue.
Le statut de la Fonction publique est remis en cause par le Ministre Darmanin qui ne veut pas d’augmentation du point indiciaire, mais seulement des salaires « au mérite ». D’autre part la remise en cause des instances, et des CHSCT menacera également les fonctionnaires.
Et le gouvernement parle d’une « refondation de l’action publique » qui permettrait plus de privatisations.
Le gouvernement a programmé la « mise à la porte » de centaines de milliers de personnes embauchées principalement dans le secteur associatif et la fonction publique territoriale : animateurs/animatrices socioculturelle, coordinateurs/coordinatrices d’association, formateurs/formatrices, auxiliaires de vie scolaires auprès d’élèves en situation de handicap… De nombreuses associations et missions de service public reposant principalement sur cette catégorie de personnels sont en danger. Nous refusons ce plan social et demandons la transformation des contrats aidés en emplois stables.
Le Président Macron veut fusionner dans un système unique par points les différents régimes de retraite. Démarrage des hostilités prévu début 2018.
Avec cette réforme toutes les retraites par répartition seront diminuées. Tous les salariés verront baisser leur pension et les statuts nationaux (Fonction publique, Cheminots, Energie…) seront en passe d’être détruits.
La Cour des Comptes ne dit pas autre chose en évoquant le scénario de « l’assimilation opérée en matière de retraite avec les salariés du secteur privé qui conduirait, à échéance plus ou moins rapprochée, à s’interroger sur le maintien des conditions de recrutement, d’emploi et de rémunérations spécifiques aux agents publics ».
Le Canard enchaîné du 18 octobre 2017 révèle que la quasi-suppression de l’impôt sur la fortune (ISF) devrait permettre à Bernard Arnault – première fortune de France avec un patrimoine estimé à 46,9 milliards d’euros – « d’économiser environ 150 millions d’euros d’impôt sur le revenu ».
Quand le gouvernement choisi de baisser les APL de 5 euros et prend ainsi 400 millions d’euros à ses bénéficiaires en 2018, il rend aux plus fortunés 3,2 milliards d’euros. Cherchez l’erreur…
Des milliers de jeunes se sont retrouvés en cette rentrée sans inscription à l’Université, sans place de cours dans les amphis, sans professeurs pour leur dispenser les cours.
Et le gouvernement travaille actuellement sur une sélection et sur de nouveaux obstacles concernant l’entrée à l’Université.
Les Unions départementales CGT, FO, Solidaires, avec l’UNEF, appellent au rassemblement le plus massif devant ces attaques :