Le 3 octobre 2009, une votation aura lieu près de chez vous, sur les marchés, devant les bureaux de Poste ou devant les mairies.
Malgré l’opposition des 2/3 des français, le gouvernement tente de passer en force. Le projet de loi déposé au mois de juillet sera examiné au pas de charge par les 2 assemblées à l’automne.
Conscient de l’impopularité de cette décision, le gouvernement a décidé d’utiliser la procédure simplifiée de la lecture unique pour éviter tout débat.
Ainsi, après France Télécom, Edf, Gdf qui ne devait jamais être privatisée (selon les propres paroles de Nicolas Sarkozy, à l’époque ministre de l’économie), c’est à cette puissante institution qu’est La Poste, présente sur tout le territoire, que s’attaquent les lobbies du « tout privé » et de la concurrence à outrance.
Ce ne sont pas les directives de Bruxelles, ni les « nécessaires modernisations » de l’entreprise qui obligent La Poste à ouvrir son capital en vue de sa privatisation.
NON ! ! ce sont l’appétit des lobbies, la volonté de faire du fric et de participer au grand monopoly des rachats d’entreprises postales européennes et des fusions entre banques qui sont derrière toutes ces manœuvres.
Les différentes filiales créées par La Poste lui ont déjà permis de s’inviter au grand jeu de la bourse.
Toute nouvelle dans le joyeux monde de la finance, La Banque Postale créée en 2006 n’a perdu « que » 60 millions d’euros dans la faillite de Lehman Brothers avec la crise de 2008!
Le 3 octobre 2009, une votation aura lieu près de chez vous, sur les marchés, devant les bureaux de Poste ou devant les mairies.
Malgré l’opposition des 2/3 des français, le gouvernement tente de passer en force. Le projet de loi déposé au mois de juillet sera examiné au pas de charge par les 2 assemblées à l’automne.
Conscient de l’impopularité de cette décision, le gouvernement a décidé d’utiliser la procédure simplifiée de la lecture unique pour éviter tout débat.
Ainsi, après France Télécom, Edf, Gdf qui ne devait jamais être privatisée (selon les propres paroles de Nicolas Sarkozy, à l’époque ministre de l’économie), c’est à cette puissante institution qu’est La Poste, présente sur tout le territoire, que s’attaquent les lobbies du « tout privé » et de la concurrence à outrance.
Ce ne sont pas les directives de Bruxelles, ni les « nécessaires modernisations » de l’entreprise qui obligent La Poste à ouvrir son capital en vue de sa privatisation.
NON ! ! ce sont l’appétit des lobbies, la volonté de faire du fric et de participer au grand monopoly des rachats d’entreprises postales européennes et des fusions entre banques qui sont derrière toutes ces manœuvres.
Les différentes filiales créées par La Poste lui ont déjà permis de s’inviter au grand jeu de la bourse.
Toute nouvelle dans le joyeux monde de la finance, La Banque Postale créée en 2006 n’a perdu « que » 60 millions d’euros dans la faillite de Lehman Brothers avec la crise de 2008!